Lors d'un atelier, nous avons rédigé la critique de chacun des films de la sélection. Retour sur les critiques qui étaient mises à disposition du public lors de la séance plein air :
Fantastic Mister Fox (Wes Anderson/2010) :
La critique du jury : Adaptation du roman de Roald Dahl, auteur très connu du jeune public, le film est réalisé en animation image par image (marionnettes, accessoires et 150 décors...). Peut être un peu trop enfantin, il reste toutefois très drôle avec de bons dialogues et des situations cocasses : on tombe sous le charme de cet élégant et rusé renard.
La critique du jury : Adapté du célèbre roman de Yasutaka Tsutsui, auteur japonais à succès, le film sait nous tenir en haleine avec beaucoup d'humour et de fantaisie malgré un montage un peu compliqué où l'on peut se perdre entre le passé, présent et futur.
La critique du jury : un long-métrage créé à partir d'une série animée, très prisée en Belgique. Le film, réalisé grâce à la technique d'animation image par image, est drôle, extrêmement décalé, avec des gags surréalistes et des dialogues incompréhensibles. Il a toutefois tendance à perdre son rythme sur la fin.
La critique du jury : un film intelligent, très maîtrisé tiré de la BD devenue culte de Marjane Satrapi. Le film est touchant de part l'histoire qui nous est raconté mais aussi grâce au graphisme, volontaire épuré : on va à l'essentiel, on raconte l'essentiel, les personnages sont attachants, courageux, humbles et drôles. Les voix de Catherine Deneuve, Chiara Mastroianni et Danielle Darrieux donnent véritablement vie aux trois héroïnes !
La critique du jury : Premier long-métrage mettant en scène les personnages en pâte à modeler Wallace et Gromit, il est bourré de tendresse et d'audace, c'est une délicieux parodie des films d'horreur, une tranche d'humour très british qui se double d'un discours écolo rigolo.
La critique du jury : Malgré la fascinante utilisation de plusieurs techniques d'animation (dessins, images de synthèse, plans réels...) l'intrigue, où se mêlent péniblement amour, écologie et combats, reste superficielle .
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